L'art de la Plume Bresil, 1985, by Daniel Schoepf, published by Musee d'ethnographie de Geneve, to accompany their exhibition in Autumn 1985-winter 1986 at the Museum National d'Histoire Naturelle de Paris (Natural History Museum of Paris). Soft Cover, 160 pages.

This is a rare and wonderful book on the art and history of Brazilian plumage decorations. Written in French, it is wonderful to look at even if you cannot read French. It features many birds whose feathers are used, and also many ornaments to be worn made from feathers. Natives thought wearing the feathers would impart the bird's special characteristics to the wearer. Full color illustrations as well as some old black and white ones from years ago. Techniques are illustrated in black and white line drawings.

Book features techniques for attaching and tying feathers, making curled plumes, and many techniques in feather work. Old Black and white photos of Brazilian Indians working feathers and adorning themselves with them for ceremonies.
De janvier à mars 2002, l’exposition parisienne consacrée à l’art de la plume en Amazonie, co-organisée par les Fondations Mona Bismarck et Caixa de Girona, a connu un succès aussi remarquable qu’inattendu auprès du grand public. Il faut dire qu’à défaut d’une muséographie originale et novatrice le visiteur était gâté par la richesse et la diversité des pièces de plumasserie présentées : pas moins de 150 objets des xixe et xxe siècles (pour la plupart des parures), très bien conservés et appartenant aux meilleures collections particulières ainsi qu’à plusieurs musées ethnographiques suisses et allemands de renommée mondiale en la matière. C’est avec un égal ravissement qu’il retrouvera dans ce beau livre, de presque 200 pages, la grande majorité de ces pièces sur photographies couleurs d’excellente qualité. S’ils auraient tort de bouder leur plaisir en consultant ce catalogue, les spécialistes ou simples amateurs avertis d’art plumassier amazonien risquent en revanche de le trouver peu instructif (sauf en ce qui concerne le « tourist art » amazonien, très bien traité) et même de s’irriter à sa lecture.